Description
« La littérature des Comores est vieille au-delà des langues qui la portent. La poésie est reconnue déjà comme la voix qui fige les pierres des moments de l’histoire humaine. Des chants devant les grottes, où les flagrances de l’encens et du sel montent pour atteindre nos ivresses animistes, aux cantiques des Quatre Livres, la poésie a toujours ouvert la voie vers toutes les demeures. Écrire donc pour Loutfy, c’est entrer dans cette même quête : où est notre demeure, sinon notre terre ?… »
Saindoune Ben Ali